mardi 28 avril 2009

5 ans

Ça fait 5 ans que je partage ma vie avec mon amoureux!
Je dis toujours que j'ai le meilleur chum du monde.
C'est le meilleur car il me respecte, m'aime comme je suis, m'appuie dans mes folies, m'encourage dans mes bons et mauvais moments, m'écoute sans me juger, n'essaie pas de me mettre des barrières pour réaliser mes rêves les plus fous ou les plus irrationnels. J'aime ça.

En 5 ans, nous avons vécu beaucoup de trip. Rares sont les semaines tranquilles ou l'on se demande quoi faire. On pédale, on cours, on sort avec les amis. On a fait du camping, de la rando, passé des week-end au chalet et nous avons également beaucoup voyagé. Toutes ses expériences nous a grandement enrichie.

Nous sommes à quelques semaines d'accueillir un enfant dans notre vie et je ne voudrais pas vivre cette expérience avec personne d'autre que lui. J'ai très hâte de nous découvrir comme parents. J'ai confiance que nous allons bien vivre notre vie.

Un billet pour te dire JE T'AIME JP. Et que notre avenir soit encore plus riche que notre magnifique passé! Longue vie à nous deux ...

(Septembre 2004 - camping Meacham Lake, NY ... quelques jours avant que je le laisse ... pour la seule et unique fois! Fallait passer par là!!!)


(Avril 2005 - Un voyage/retrouvailles à Londres, après 10 semaines séparés ... JP était en Australie et Londres était sur son chemin du retour. Je l'ai rejoint pour pâques. Magnifique voyage! )


(Juillet 2006 - Aiguille du Midi, Mont-Blanc, Chamonix, France ... pendant notre périple Ironman-zurich-sac-à-dos en Suisse et en France.)


(Novembre 2007 - Sur la plage de South Hampton, Long Island NY, nouvellement marathonienne!!!)


(Septembre 2008 - Avant d'aller rouler sur Covey Hill ... deux jours après qu'on ai su que j'étais enceinte. Une de nos plus belle journée de vélo ensemble à date!)

vendredi 24 avril 2009

Clinique de Chi Running

Ma bonne amie Lise m'a informé qu'il y aura une clinique donné par Danny Dreyer, le fondateur de la technique de course à pied Chi Running, à Montréal le 25 juillet prochain.

Les infos sont ici: One-day ChiRunning Workshop - Montreal, CAN

Personnellement, j'ai suivie une mini-clinique l'été dernier à Lake Placid donné par Sheri Fraser, une excellente triathlète et coach et j'ai adorée mon expérience. Si je le pouvais, je payerais volontier les 225$ que coûte cette clinique pour y participer. Sauf que 1, je vais avoir un nouveau bébé (!) et 2, je serai à Lake Placid à cette date.

J'ai réapris à courir avec cette méthode et je vais continuer à l'adopter à mon retour à la course à pied cette été. Bref, je vous le recommande fortement!

mercredi 22 avril 2009

Profession: Cheerleadeuse!

Avoir une vie sportive non existante, ce n’est pas toujours facile. Ma vie est fondamentalement sportive. Mais je ne pratique pas de sport. C’est ça être une sportive au repos. La cause est noble, mon bébé et moi sommes reconnaissant de cette pause non désirée.

Je suis entourée de sportifs. Mon chum et la grande majorité de mes ami(e)s. Ils sont cyclistes, coureurs, triathlètes, duathlètes. Tous sont hyper stimulant et motivant à côtoyer. Je suis choyée de les avoir dans ma vie. Les regarder vivre leur début de saison me rend à la fois frustrée, à la fois jalouse, à la fois joyeuse et fière de leurs accomplissements. J’essaie le plus possible de ne pas me laisser envahir par les sentiments négatifs. J’essaie plutôt d’être la meilleurs cheerleadeuse pour eux. Car ça m’aide de les encourager. C’est égoïste dans le fond. Je les encourage pour moi, pour m’aider à passer le temps et pour me nourrir.

Je ne travaille plus depuis ma sortie de l’hôpital. Je ne bouge plus non plus. Le temps est parfois long. Très long. J’ai eu à faire un deuil. Un deuil de ne plus bouger DU TOUT! Ça n’a pas été facile mais aujourd’hui, je vie ça un peu plus sereinement.

Je me nourris donc de ses journées de compétitions ou je peux aller encourager mon entourage. Je me nourrie des souper entre amis pendant lesquels ont parle de nos passions. Ça me fait sentir dans le coup. Comme si cette partie de ma vie n’était pas morte. Je cultive ma vie sportive à travers eux, en attendant de m’y remettre.

Je suis allée à la course de Lasalle en mars, au demi marathon de la banque Scotia le week-end dernier et je suis TRÈS excitée (peut-être trop!) du fait que mon amoureux aura 3 compétitions en trois semaines au mois de mai, dont une course de vélo, un contre-la-montre à Granby. J’ai TELLEMENT hâte. Ce sera sa première course de vélo à vie. Et comme je suis sa groupie numéro un, je ne voudrais pas être ailleurs qu’à la ligne de départ et d’arrivé de cet événement. J’étais trop ravie aussi d’apprendre qu’il allait courir une course que deux autres amies vont courir. Un 10 km à Ste-Thérèse. Wouhou! Ça aussi ça va me faire tripper. Je vais en profiter pour prendre des photos de mes athlètes préférés et me faire un plaisir de leur envoyer les clichés.

C’est le fun d’avoir un réseau d’amis avec qui ont partage des passions. Je ne les échangerais pour rien au monde … même dans cette période de pause!

mardi 21 avril 2009

Lake Placid

Ma nouvelle affiche du blogue est une photo que j'ai pris à Lake Placid en été 2007. C'est ici:


Afficher River Rd, Lake Placid sur une carte plus grande

C'est sur le parcours de la course à pied du Ironman Lake Placid. Nous y étions pour un camp d'entraînement de triathlon avec quelques copains. J'aime le concept d'une affiche qui indique qu'il faut partager la route avec des athlètes qui s'entraînent.
J'adore ce coin de pays!

jeudi 16 avril 2009

Ma première course À VIE!

Suite à mon dernier billet, ma mère m'a écrit l'histoire du comment j'en suis arrivée à participer à une course à 7 ans!

Voici ce qu'elle m'a écrit ... :
Nous recevions à toutes les semaines, le journal local "Point d'impact". Aussi, les activités organisées par la ville à toutes les saisons. C'est dans ces deux documents qu'on a vu les courses annoncées. Je me souviens de l'avoir lu tout fort et tu as dit que tu voulais y participer. Tu as même dit que tu voulais faire, dès la première fois le 5 km. Ton père et moi avons alors dit que tu pouvais faire la plus petite course mais je dois t'avouer que ça nous inquiétait parce que tu ne t'étais pas vraiment préparé pour faire cette course. Quand tu as finalement traversé la ligne d'arrivé, tu étais rouge comme une tomate mais tu étais très contente de l'avoir fait. Tu pleurais de joie et nous aussi d'ailleurs.

Lire que je pleurais de joie me fais tout drôle car encore aujourd'hui, je pleure de joie quand je traverse une ligne d'arrivée plus importante. En course à pied comme en vélo. C'est tout moi!

Et me voici en plein action!!! En avant du peloton, hehe!



Hihi! J'aime croire que je suis la première à franchir la ligne d'arrivée.
Remarquez mes super short en JEANS!!! Trop drôle. J'aime ça, ça fait old school!
Merci maman pour le voyage dans le temps :-)

samedi 11 avril 2009

D'où me vient la passion de courir?

Hier, sous le beau soleil du printemps (enfin!), je suis allée marcher avec Muscade et mon amoureux au Parc Lafontaine. De la vrai T-O-R-T-U-R-E!

Il y avait des coureurs partout!!! Ils avaient tous l’air bien, heureux et sereins. C’est peut-être mon interprétation de leur état d’âme qui est le miroir de ma JALOUSIE!!! Inutile de vous re-mentionner à quel point courir me manque. J’arrive à l’oublier quand je ne vois pas quelqu’un courir, ou se préparer à courir, ou à lire sur les statut facebook que mes ami(e)s se préparent à aller courir, ou à la lecture des récits de course à pied sur les blogue! Bah! Ça me sort à peine de ma tête :-)))

J’y pense beaucoup. Mais ce n’est pas toujours de la torture. En fait, y penser m’aide à me nourrir. D’ailleurs, mon ami/collègue vélocien et nouveau blogueur Philippe m’a posé la question suivante : ''D'où t'es venu le goût de courir?''

Bonne question Phil! En fait, je ne me souviens pas exactement comment cette passion est entrée dans ma vie. Mais je me souviens de ma première course comme si c’était hier.

Le 16 juin 1982, j’avais 7 ans. J’ai couru 1 mile – 1.6 km. Qui a eu l’idée? Aucune idée. Faudrait que mes parents me rafraîchissent la mémoire. Reste que je m’en souviens très bien. J’étais nerveuse au départ. Je suis partie en folle et je me suis épuisée trop vite! Je me souviens d’avoir été à bout de souffle tout le long et que ce mile m’a paru comme une éternité. Je me souviens du feeling de la ligne d’arrivée et de la fierté de mes parents. De la mienne aussi. J’étais complètement accro. Fallait que je participe à la version longue l’année suivante. J’allais m’entraîner pour. Je me faisais déjà mon plan mental à mon retour à la maison.

Le 15 juin 1983, j’ai participé à ma deuxième course … le KM Yoplait avec comme présidente d’honneur, Jacqueline Gareau. C’était un 3 km. Le double de l’année dernière!!! Honnêtement, je ne me suis pas beaucoup entraînée pour cette course. J’ai couru ici et là des tours du bloc mais sans plus. La course à pied n’occupait pas mon cerveau à temps plein. J’étais beaucoup plus investie dans mon temps avec mes amies! Ce 3 km a été tout aussi souffrant que mon 1.6 km de l’année précédente. J’ai aimé ça, mais peut-être pas autant qu’à ma première fois.

À partir de l’âge de 8 ans, jusqu’à 16 ans, je passais 2 semaines par été au camp Edphy. C’est dans ce camp que j’entretenais mon amour pour la course à pied. Je participais à toutes les activités qui me permettaient de courir. J’étais très forte au 50m et au 100m. Je gagnais tout le temps même que je battais souvent les garçons. J’aimais vraiment ça les sprints. J’étais explosive. À partir de 13 ans, les gars me dépassaient mais pas les filles. J’aimais ça être la meilleure. C’était un des seuls sports dans lequel j’avais un certain potentiel. Mais je ne l’ai pas développé. Mes parents n’étant pas des coureurs, certes sportifs mais plus au gym que d’autre chose, je n’ai pas demandé à aller dans un club de course car honnêtement, je ne savais pas que ça existait. Pour moi, ma seule opportunité de courir était au camp Edphy. Alors je me donnais à fond pendant ses deux semaines d’été!

En cinquième et sixième année, je me suis mis à courir le matin avant d’aller à l’école, le printemps venu. Un peu pour me préparer à mon camp de vacance!!! J’arrivais parfois à traîner mon frère avec moi. J’aimais le feeling de courir seule, très caractéristique de mon côté indépendante (!!!) à courir dans les rues de mon quartier pendant que mes amis dormaient encore. J’avais l’impression d’avoir accomplie quelque chose que mon entourage n’avait pas fait. Ça me distinguait. J’aimais être différente … j’aime encore être différente!

À 16 ans, mon dernier été au camp Edphy, j’ai participé au ''marathon''. Évidemment, ce n’était pas un vrai marathon!!! C’était une course de 4-5 km, réservé aux grands du camp! C’était parcours assez exigeant qui nous faisait passer dans des dunes de sables et les côtes du boisé. J’ai gagné chez les filles et mon ''amoureux'' du camp, a gagné chez les hommes. Pfffff! On était LE couple du camp! J’ai vraiment aimé cette course. Je me souviens de m’être donnée à fond. Et je crois que c’est à ce moment que j’ai décidée qu’un jour, j’allais courir un VRAI marathon.

Par contre, vers l’âge de 12 ans je commençais à avoir des problèmes de genoux. Courir devenait de plus en plus souffrant. À 16-17 ans, mon médecin sportif me disait d’arrêter de courir, ben je l’ai écouté! Par contre, je faisais autre chose … je suivais des cours de danse aérobique, je jouais au basketball dans l’équipe de l’école, j’étais en éducation physique option en secondaire 3-4-5, je roulais un peu avec mon vélo de route. J’étais très active, mais mes genoux me faisaient de plus en plus mal.

Rendu au cégep, j’ai carrément arrêté le sport. Pour plusieurs raisons. Mon excuse de choix … j’ai mal aux genoux! Mais le divorce de mes parents m’a beaucoup affectée psychologiquement et j’ai vécu des années difficiles dans ma vingtaine. J’ai pris du poids et j’ai arrêté de prendre soin de moi. Je me suis concentrée sur le début de ma carrière, je me cherchais, je me suis perdu en même temps. À travers ses années, je travaillais fort à me retrouver. J’étais la fille qui utilisait toutes les excuses du monde pour ne pas faire de sport. Mes genoux étaient la raison principale. Je le savais que je ne vivais pas une vie qui me plaisait, mais je ne voulais pas le voir en même temps. Période troublante, mais combien enrichissant car quand le déclic est enfin arrivé, ma vie a basculé et je me suis tranquillement retrouvé.

C’est à 25 ans qu’un médecin m’a donné une claque au visage en me disant que je faisais de la haute pression. MOI! Ancienne sportive, jeune fille de 25 ans qui fais de la pression. Ce n’est pas une maladie de vieux ça?! J’avais honte. J’ai aussitôt commencé des démarches pour changer ma vie. Rendez-vous chez un médecin en médecine sportive pour régler mes problèmes de genoux au plus vite. Je voulais recommencer à faire du sport, je voulais courir un marathon.

Le 2 avril 2002, je me suis fais opérée au genou gauche. Un moment très important qui allait changer ma vie. La rémission de cette opération a été jumelée d’une remise en forme. PAS FACILE!!! Je me suis acheté un vélo hybride pour me permettre de me refaire une musculation des jambes. À travers ça, j’essayais de perdre du poids. Ça m’a pris 2 ans et demi mais en octobre 2004, j’ai recommencé à courir. Sur un tapis roulant au gym! WOW. Je courais 1 min et j’en marchais 5. J’ai commencé vraiment tranquillement. Au printemps 2005, j’ai fait ma première sortie dehors. Je m’en souviens vivement. Je trouvais que l’air était court. J’ai fait qu’un grand tour du bloc et après, j’ai sortie mon vélo hybride. Mon chum était en Australie et je me souviens de lui avoir écrit un courriel pour lui raconter à quel point j’étais fière de moi.

Mon amoureux est entré dans ma vie en avril 2004. Le 29 avril prochain, nous allons célébrer nos 5 ans. Il est entré dans ma vie pendant cette remise en forme. Nous avions les mêmes passions, bouger, courir, rouler. Lui, il s’entraînait pour son premier Ironman. Côtoyer JP m’a ouvert les yeux sur le sport d’endurance, sur un mode de vie qui m’attirait beaucoup, un mode de vie que je voulais adopter. Sa présence m’a beaucoup aidée à persévérer à devenir une marathonienne.

Aujourd’hui, je SAIS que je ne peux plus vivre sans le sport. Ça fait partie de mes besoins essentiels. Je n’ai plus d’excuses et pas tellement de limites. J’ose rêver à des choses extrêmes, j’ose en parler, j’ose m’essayer à les réaliser. C’est peut-être mon petit côté qui aime être différente.

mardi 7 avril 2009

Après la pluie, le beau temps!

Hier, comme vous l’avez lu, c’était vraiment une journée de merde. Mais j’ai fait ce que j’ai écrit … j’ai accueilli mes sentiments et je les ai vécu, sans les juger et sans me censurer. C’était dur et j’ai pleurée toute la journée. Avant de me coucher, j’ai réalisée que le moment où j’aurai mon bébé sur mon ventre, tout ce que je vis présentement en aura valu la peine. Je me suis endormie avec cette pensée.

Ce matin, je me suis levée avec une toute autre attitude. J’étais de bonne humeur et remplie d’espoir. M’avoir permis de me libérer de mes frustrations m’a beaucoup aidée. J’ai écris mon dernier billet pour moi, pour me libérer. Je vous remercie de vos généreux mots d’encouragements. Ceux-ci étaient sans jugements et j’ai beaucoup appréciée.

C’est clair que j’ai un ajustement à vivre et ce n’est certes pas toujours facile à vivre. Je vais sûrement continuer à avoir des bons et des mauvais moments dans les prochaines semaines mais ultimement, je sais que je vais aller bien en bout de ligne.

J’ai eu une bonne nouvelle aujourd’hui. J’ai congé de médecins et de tests sanguins pour 2 semaines!!! Wouhou! Tous mes tests sont super bons et mes résultats s’améliorent. Je prends ça comme un cadeau. Bébé bouge pas mal et ça me fait tripper. Je commence à reconnaître quand il ou elle s’étire, je pense faire la différence entre ses pieds ou ses mains. J’arrive parfois à sentir de mes mains une bosse. Ça me donne l’impression de lui toucher, d’être proche de mon bébé. C’est un moment de grand bonheur.

Je vais continuer à vivre au jour le jour et à profiter le plus possible de mes bonnes journées. J’apprends beaucoup sur moi à travers cette expérience. C’est très enrichissant.

lundi 6 avril 2009

Comme au yoga

J’aimerais vous écrire que je vais super bien, mais ce n’est pas vraiment le cas. J’aimerais vous écrire que ma grossesse se passe exactement comme je l’aurais souhaité, sans problèmes, sans soucis, j’aimerais écrire mes récap. de mes ''exploits sportifs de femme enceinte'' mais je ne fais plus de sport depuis 3 semaines. J’aimerais vous peindre une belle toile toute joyeuse remplie de couleurs vibrantes mais le ciel est tellement gris.

J’ai des hauts et des bas, mais plus de bas que de haut. Le sport me manque terriblement. Je ne parle pas juste de la course à pied … bouger tout court me manque. J’ai eu la permission de mon médecin d’aller patauger dans l’eau quand je me sentirais assez ''en forme'' pour y aller … je n’ai pas encore trouvé cette énergie.

Je ne sais pas comment je faisais dans le temps que le sport avait quitté ma vie, dans ma vingtaine. Je pouvais bien être malheureuse et mal dans ma peau. Je vois clairement aujourd’hui l’impact que le sport à eu dans ma vie. L’impact sur ma santé mentale et physique. Le bonheur que ça m’apporte. C’est inégalé.

J’essaie de meubler mon temps en comblant le vide par d’autres passions. Comme cuisiner, monter des albums photos, etc. Mais j’avoue bêtement que ça n’arrive pas à la cheville que ce que le sport m’apporte.

J’aurais aimée avoir une belle grossesse. J’aurais aimée courir (ou bouger) jusqu’au dernier jour. Accepter ce qui m’arrive. Oui. Il faudrait. Mais ce n’est pas toujours facile. Je n’ai pas toujours envie d’être positive et patiente. Aujourd’hui, j’ai envie de pleurer. Et comme mon amie m’a mentionnée récemment … la vie, c’est comme le yoga, il faut sentir les émotions, sans les analyser, ni les juger. Elle est wise mon amie et je vais l’écouter!