Dimanche dernier, avec tout mon enthousiasme, je suis allée au gym pour courir mon premier 16 km de l’année. J’étais très motivée.
Pour faire changement, moi et JP avons décidé d’aller au gym de l’Île des Sœurs. Arrivés sur place, nous découvrons les vieux tapis roulant. Disons que j’était un peu déçu, me disant que j’aurais dû aller courir dehors. Mais il était trop tard. Et puis je me dis qu’un tapis roulant, c’est du pareil au même, qu’il soit jeune ou vieux.
Je m’installe sur le vélo stationnaire pour faire mon réchauffement de 15 minutes. 7 minutes plus tard, j’arrête de rouler et je m’installe sur le tapis roulant, croyant être bien réchauffée. Je comprendrai plus tard que dans le fond, c’est mon enthousiasme qui m’a fait écourtée mon réchauffement … première erreur !
Pendant que je commence mon entraînement, JP s’installe lui aussi à côté de moi pour courir. La beauté de courir sur un tapis roulant c’est qu’on peut s’entraîner ensemble, à notre propre vitesse.
Après 4 km, je commence à sentir une douleur à l’intérieur de la cuisse gauche. Mon instinct me dit : «Tu devrais arrêter pour éviter les blessures.», mais mon cœur me dit : «Aller, té capable, t’as déjà vécu pire que ça !» Alors j’ai continué. Deuxième erreur.
J’ai couru 14.4 km ce jour-là. C’est une crampe au mollet droit qui a eu le dessus sur mon cœur. Pourtant, j’ai l’habitude de m’écouter. Ma tête de cochon m’a joué un vilain tour.
Aujourd’hui, c’est ma massothérapeute qui m’a remis les idées en place.
Elle m’a dit qu’il fallait que je m’écoute, que je respecte mes limites, etc. Toutes des choses que je sais déjà. En tout cas, mon massage m’a servie de leçon. Et je prends congé toute la semaine. Question de reprendre l’entraînement en pleine forme.
L’entraînement, c’est une bonne drogue car elle est bonne pour la santé physique et mentale, quand on le pratique de la bonne façon.
Pour faire changement, moi et JP avons décidé d’aller au gym de l’Île des Sœurs. Arrivés sur place, nous découvrons les vieux tapis roulant. Disons que j’était un peu déçu, me disant que j’aurais dû aller courir dehors. Mais il était trop tard. Et puis je me dis qu’un tapis roulant, c’est du pareil au même, qu’il soit jeune ou vieux.
Je m’installe sur le vélo stationnaire pour faire mon réchauffement de 15 minutes. 7 minutes plus tard, j’arrête de rouler et je m’installe sur le tapis roulant, croyant être bien réchauffée. Je comprendrai plus tard que dans le fond, c’est mon enthousiasme qui m’a fait écourtée mon réchauffement … première erreur !
Pendant que je commence mon entraînement, JP s’installe lui aussi à côté de moi pour courir. La beauté de courir sur un tapis roulant c’est qu’on peut s’entraîner ensemble, à notre propre vitesse.
Après 4 km, je commence à sentir une douleur à l’intérieur de la cuisse gauche. Mon instinct me dit : «Tu devrais arrêter pour éviter les blessures.», mais mon cœur me dit : «Aller, té capable, t’as déjà vécu pire que ça !» Alors j’ai continué. Deuxième erreur.
J’ai couru 14.4 km ce jour-là. C’est une crampe au mollet droit qui a eu le dessus sur mon cœur. Pourtant, j’ai l’habitude de m’écouter. Ma tête de cochon m’a joué un vilain tour.
Aujourd’hui, c’est ma massothérapeute qui m’a remis les idées en place.
Elle m’a dit qu’il fallait que je m’écoute, que je respecte mes limites, etc. Toutes des choses que je sais déjà. En tout cas, mon massage m’a servie de leçon. Et je prends congé toute la semaine. Question de reprendre l’entraînement en pleine forme.
L’entraînement, c’est une bonne drogue car elle est bonne pour la santé physique et mentale, quand on le pratique de la bonne façon.
Elle va me manquer cette semaine … ça me servira de leçon !
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